Le bois de rose (2ième partie)
La distillation du bois de rose, trés classique, s'effectue dans un alambic. Par soucis de tradition, la matière première de départ était : le cuivre. Mais trops vite détèrioré par la causticité du liquide et de la chaleur.
Christophe et ses amis en ont élaboré un autre en métal mélangé, inoxydable. La première cuve reçoit les copeaux de bois, environs trente kilogramme. Une deuxième cuve d'un niveau inferieur, remplie d'eau de pluie est posée sur un trépied diffusant la chaleur à gaz (comme pour les confiture!). Protéger latéralement du vent par des plaques de métal. La cuve remplie de copeaux soulevée par un système de poulies est posé, enclavé et solidement fixé sur celle contenant l'eau en ébullition. Une grille sépare les copeaux de l'eau. Pour assurer sa sécurité, un système permet l'évacuation de la vapeur supplémentaire, si la pression est trop forte!
Partant de la cuve supèrieure, un tuyeau vissé en son centre reçoit la vapeur, qui a traversé les copeaux et emporté les composants volatils. Ce tuyeau contient donc de la vapeur chargé de composants volatils. Pour les mettre en flacon, il faut à nouveau les rendre liquide. Pour cela la vapeur passe dans un serpentin plongé dans de l'eau froide. Compte tenu du fait qu'il fait déjà trés chaud, cette eau trés vite réchaufée reçoit régulièrement de l'eau froide (eau de pluie).
Une distillation représente 30 kilos de copeaux de bois, 30 litres d'eau dans l'alambic et trois heures de distillation.
CAS CONCRET: Comment expliquez vous que de trentes litres d'eau utilisées pour la distillation, nous ne récupérons que 350 grammes d'huiles essentielles ? J'attends vos solutions pour continuer vers la troisième parties...
La distillation du bois de rose, trés classique, s'effectue dans un alambic. Par soucis de tradition, la matière première de départ était : le cuivre. Mais trops vite détèrioré par la causticité du liquide et de la chaleur.
Christophe et ses amis en ont élaboré un autre en métal mélangé, inoxydable. La première cuve reçoit les copeaux de bois, environs trente kilogramme. Une deuxième cuve d'un niveau inferieur, remplie d'eau de pluie est posée sur un trépied diffusant la chaleur à gaz (comme pour les confiture!). Protéger latéralement du vent par des plaques de métal. La cuve remplie de copeaux soulevée par un système de poulies est posé, enclavé et solidement fixé sur celle contenant l'eau en ébullition. Une grille sépare les copeaux de l'eau. Pour assurer sa sécurité, un système permet l'évacuation de la vapeur supplémentaire, si la pression est trop forte!
Partant de la cuve supèrieure, un tuyeau vissé en son centre reçoit la vapeur, qui a traversé les copeaux et emporté les composants volatils. Ce tuyeau contient donc de la vapeur chargé de composants volatils. Pour les mettre en flacon, il faut à nouveau les rendre liquide. Pour cela la vapeur passe dans un serpentin plongé dans de l'eau froide. Compte tenu du fait qu'il fait déjà trés chaud, cette eau trés vite réchaufée reçoit régulièrement de l'eau froide (eau de pluie).
Une distillation représente 30 kilos de copeaux de bois, 30 litres d'eau dans l'alambic et trois heures de distillation.
CAS CONCRET: Comment expliquez vous que de trentes litres d'eau utilisées pour la distillation, nous ne récupérons que 350 grammes d'huiles essentielles ? J'attends vos solutions pour continuer vers la troisième parties...
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