La vaccination rle cancer du col de l'utérus: en savoir Bonjour,
J'imagine que, le jour où le laboratoire Sanofi-Pasteur a reçu l'autorisation de mettre sur le marché le pseudo-vaccin contre le cancer du col de l'utérus (le Gardasil), ses dirigeants ont arrosé cela comme il se doit. L'affaire promettait d'être juteuse et l'idée même de proposer le premier vaccin "contre le cancer" devait faire briller leurs yeux d'émotion.
Malheureusement, cela ne s'est pas passé tout à fait comme prévu. Très vite, on a commencé à douter de l'inocuité et de l'utilité du Gardasil. Un peu partout dans le monde, des médecins intègres ont sonné l'alerte. Nous-mêmes avons publié, il y a six ans dans notre magazine "Principes de Santé", un article intitulé "Cancer du col de l’utérus, méfions-nous du Gardasil" rédigé par le Dr Luc Bodin (spécialiste du cancer) voir ici.
Peu à peu, le bruit s'est répandu et les mamans, d'abord enthousiastes à l'idée de protéger leurs petites filles, ont, l'une après l'autre, boudé ce traitement.
C'est ainsi que le Gardasil qui portait tous les espoirs financiers des labos concernés a tourné progressivement au fiasco commercial. Sanofi-Pasteur aurait pu laisser tomber, mais l'enjeu était trop énorme, alors le laboratoire s'est tourné vers ses débiteurs. Quels débiteurs ? Tous ceux qui, depuis cinquante ans, à gauche comme à droite, bénéficient de ses largesses. Le peuple ne veut pas du Gardasil ? Activons nos réseaux pour le lui imposer.
C'est ainsi que l'on a décidé en haut lieu de mettre en branle toute la machine de l'État pour renverser la situation. On est allé très loin puisqu'il est aujourd'hui question d'utiliser la puissance de feu de l'Éducation nationale pour bourrer le crâne aux enfants, convaincre les parents récalcitrants et, comble du comble, servir d'infirmerie de campagne afin de pratiquer une vaccination massive.
Pourtant depuis que les premiers soupçons sont apparus, les inquiétudes sur le Gardasil n'ont fait que se renforcer.
On sait d'abord que le Papilloma virus, aussi appelé HPV, n’est pas pathologique en soi et que sa présence n’est pas significative d’une maladie. Il n’est pas même un indicateur d’une activité sexuelle débridée et irresponsable. Faut-il ajouter que les trois-quarts des HPV potentiellement cancérigènes disparaissent spontanément, c’est-à-dire sans traitement ?
On sait aussi, et c'est plus grave, que les Allemands ont signalé des troubles neurologiques (paralysie faciale, syndrome de Guillain-Barré), des maladies autoimmunes et même des décès après l'administration du vaccin. Les Américains - bien qu'on leur ait offert une part du gâteau (le Cervarix de GlaxoSmithkline a été autorisé à faire concurrence au Gardasil) - ont relevé des asthmes, des problèmes digestifs, des douleurs névralgiques et des appendicites.
Malgré cela la machine à vacciner c'est remise en route avec une force inégalée. Elle a heureusement trouvé un homme pour l'enrayer : le Pr Henri Joyeux. Cet estimable et courageux cancérologue s'est invité, ces derniers jours, sur de nombreux plateaux télé, à la radio, dans les journaux pour dénoncer le stratagème. Des millions de personnes l'ont entendu et, je l'espère, n'enverront pas leurs enfants se faire vacciner sans réagir.
Une pétition est en cours. Je ne la signerai pas car elle ne passe pas par les voies habituelles (change.org ou avaaz.org) et je ne suis pas sûr que mon adresse ne sera pas utilisée à des fins commerciales. Mais je tire quand même mon chapeau à Henri Joyeux.
Plutôt que de signer au bas d'un papier, je vous recommande, comme il le fait, de refuser toute vaccination intempestive contre le HPV, malgré les pressions. Ce sera plus engageant pour vous, c'est sûr, mais beaucoup plus efficace.
Bon, maintenant comment passer élégamment au sujet de notre newsletter de la semaine ? Je ne vois pas. Alors je vous le livre sans détours. Nous avons retrouvé une méthode peu connue qui permet de réduire facilement le stress ou la fatigue tout en améliorant la concentration : la méthode Vittoz. Peu de thérapeutes la pratiquent, mais nous vous proposons ici quelques exercices simples que vous pourrez faire en quelques minutes, à tout moment de la journée.
J'imagine que, le jour où le laboratoire Sanofi-Pasteur a reçu l'autorisation de mettre sur le marché le pseudo-vaccin contre le cancer du col de l'utérus (le Gardasil), ses dirigeants ont arrosé cela comme il se doit. L'affaire promettait d'être juteuse et l'idée même de proposer le premier vaccin "contre le cancer" devait faire briller leurs yeux d'émotion.
Malheureusement, cela ne s'est pas passé tout à fait comme prévu. Très vite, on a commencé à douter de l'inocuité et de l'utilité du Gardasil. Un peu partout dans le monde, des médecins intègres ont sonné l'alerte. Nous-mêmes avons publié, il y a six ans dans notre magazine "Principes de Santé", un article intitulé "Cancer du col de l’utérus, méfions-nous du Gardasil" rédigé par le Dr Luc Bodin (spécialiste du cancer) voir ici.
Peu à peu, le bruit s'est répandu et les mamans, d'abord enthousiastes à l'idée de protéger leurs petites filles, ont, l'une après l'autre, boudé ce traitement.
C'est ainsi que le Gardasil qui portait tous les espoirs financiers des labos concernés a tourné progressivement au fiasco commercial. Sanofi-Pasteur aurait pu laisser tomber, mais l'enjeu était trop énorme, alors le laboratoire s'est tourné vers ses débiteurs. Quels débiteurs ? Tous ceux qui, depuis cinquante ans, à gauche comme à droite, bénéficient de ses largesses. Le peuple ne veut pas du Gardasil ? Activons nos réseaux pour le lui imposer.
C'est ainsi que l'on a décidé en haut lieu de mettre en branle toute la machine de l'État pour renverser la situation. On est allé très loin puisqu'il est aujourd'hui question d'utiliser la puissance de feu de l'Éducation nationale pour bourrer le crâne aux enfants, convaincre les parents récalcitrants et, comble du comble, servir d'infirmerie de campagne afin de pratiquer une vaccination massive.
Pourtant depuis que les premiers soupçons sont apparus, les inquiétudes sur le Gardasil n'ont fait que se renforcer.
On sait d'abord que le Papilloma virus, aussi appelé HPV, n’est pas pathologique en soi et que sa présence n’est pas significative d’une maladie. Il n’est pas même un indicateur d’une activité sexuelle débridée et irresponsable. Faut-il ajouter que les trois-quarts des HPV potentiellement cancérigènes disparaissent spontanément, c’est-à-dire sans traitement ?
On sait aussi, et c'est plus grave, que les Allemands ont signalé des troubles neurologiques (paralysie faciale, syndrome de Guillain-Barré), des maladies autoimmunes et même des décès après l'administration du vaccin. Les Américains - bien qu'on leur ait offert une part du gâteau (le Cervarix de GlaxoSmithkline a été autorisé à faire concurrence au Gardasil) - ont relevé des asthmes, des problèmes digestifs, des douleurs névralgiques et des appendicites.
Malgré cela la machine à vacciner c'est remise en route avec une force inégalée. Elle a heureusement trouvé un homme pour l'enrayer : le Pr Henri Joyeux. Cet estimable et courageux cancérologue s'est invité, ces derniers jours, sur de nombreux plateaux télé, à la radio, dans les journaux pour dénoncer le stratagème. Des millions de personnes l'ont entendu et, je l'espère, n'enverront pas leurs enfants se faire vacciner sans réagir.
Une pétition est en cours. Je ne la signerai pas car elle ne passe pas par les voies habituelles (change.org ou avaaz.org) et je ne suis pas sûr que mon adresse ne sera pas utilisée à des fins commerciales. Mais je tire quand même mon chapeau à Henri Joyeux.
Plutôt que de signer au bas d'un papier, je vous recommande, comme il le fait, de refuser toute vaccination intempestive contre le HPV, malgré les pressions. Ce sera plus engageant pour vous, c'est sûr, mais beaucoup plus efficace.
Bon, maintenant comment passer élégamment au sujet de notre newsletter de la semaine ? Je ne vois pas. Alors je vous le livre sans détours. Nous avons retrouvé une méthode peu connue qui permet de réduire facilement le stress ou la fatigue tout en améliorant la concentration : la méthode Vittoz. Peu de thérapeutes la pratiquent, mais nous vous proposons ici quelques exercices simples que vous pourrez faire en quelques minutes, à tout moment de la journée.
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