Les huiles essentielles pour une belle peau

Je relate à nouveau un témoignage reçu lors du dernier salon à Rennes .
Une jeune femme radieuse vient me parler du Bois de Rose. Intriguée par la spécificité "Guyanaise" de celui que je distribue.
Je lui raconte donc l'histoire du bois de rose de Guyane. Sa surexploitation, sa disparition, son détournement et sa remise progressive sur le marché des huiles essentielles.



Elle me dit l'employait depuis l'âge de 16 ans comme crème de jour. Elle mélange une goutte à une huile végétale qu'elle applique sur son visage.
L'odeur la réconforte chaque fois dans sa féminité.
Certes elle a une peau magnifique, dense, claire, les joues roses, pas un pli !

J'y prête d'autant plus attentions que ses enfants, environs 9 et 12 ans viennent de la rejoindre.
Impossible ! Elle semble si jeune ! Je suis impressionnée, pendant qu'elle me confie que cela lui arrive souvent : les erreurs sur son âge.

Elle sent le flacon que je lui tend. Ferme les yeux, sourit : il est extra ordinaire ! Cette note florale, douce puis chaude.

Mais quelle idiote je fais !
 Je connais ce secret depuis longtemps et je ne l'ai pas appliqué aussi régulièrement qu'elle.

Je me garde deux flacons de coté. J'utilise l'huile de noyau d'abricot avec. Un soin beauté d'excellence. Cela ne réparera pas les outrages du temps, mais les canalisera avec un stop sur image.

Je n'ai pas demandé de photo de cette femme, bien sûr. Mais croyez moi sa fidélité au bois de rose l'a généreusement gratifié d'une beauté naturelle.

A défaut d'un cordonnier mal chaussé , je fais figure d'une pratique ancestrale dans tous les sens du terme !