Saisir et Comprendre l'implication des symptômes dans le développement d'une maladie ou d'un mal-être ressemble à un vrai labyrinthe. Lorsque enfin, une piste se profile les conseils aromatiques qui en découlent sont parfois si différents que le labyrinthe se métamorphose en sol glissant, une vraie patinoire! Alors dans quel sens aller?
J'ai évoqué dans un le message " aromathérapie, phytol-énergétique, olfactothérapie du mois de Mars, la diversité des domaines d'application des huiles essentielles, pour expliquer la raison de tant de recettes différentes. Mais il n'y a pas que cela! Nous sommes dans la solution et l'interrogation se situe dans la question :
1) La maman: ma fille a envie de vomir.
2) la copine: mon amie a de la peine.
3) le moniteur de colonie: cet enfant va faire un malaise
4) le patron: ma collègue est enceinte!
Dés lors que cette phrase est proclamée dans un contexte spécifique, elle prend un sens différent; Le médecin, le psychologue, le dentiste, le cardiologue, l'infirmière anesthésiste réagiront selon leurs connaissances spécifiques. De tout façon ils chercheront d'autres symptômes.
Votre empathie m'interpelle: Et la victime du "mal au cœur" dans tout ça!
Pour l'instant elle attend, nous n'avons pas encore cerner le vrai problème. Et c'est elle qui justement détient la clef!
Il faut premièrement:
- Repérer l'espace de variation des usages : qu'attend le donneur d'information, quelle réaction souhait-il provoquer? D'autres symptômes physiques accompagnent-ils cette information?
Car nul doute qu'à l'autre bout du processus d'utilisation, où sont désignés les maux que soigne "une plante", le travail soit à faire, sur la portée sémantique des terminologies . Une plante présentée comme efficace contre "le mal de coeur" relève selon les références culturelles de l'informateur d'une manifestation cardiaque (tachycardie, arythmie), d'une pathologie digestive (nausée) ou d'un problème affectif. Il est donc essentiel de comprendre le sens de l'usage thérapeutique dans son contexte socio-culturel, avant d'entreprendre une réponse aromatique, afin d'éviter les contre-sens dans l'utilisation de l'information recueillie. Le tout est d'être efficace. Certains usages sont rigoureusement codifiés pour ce qui est de l'ingrédient (une plante, toujours la même sur toute l'étendue culturelle étudiée, précisément définie). C'est le cas de l'aromathérapie selon l'école française. D'autres pratiques seront pour ce qui est de la posologie, par exemple, ou pour le mode d'application, mais non pour l'espèce utilisée...
Deuxièmement choisir et opter pour une réponse.
-Quelle huile essentielle choisir? A ce stade, les symptômes s'éclaircissent: la fille a eu le temps de vomir, l'amie de fondre en larmes, l'enfant de tomber dans les pommes, quant aux autres, ils sont entre de bonnes mains. Mais comment s'y retrouver, quel chemin prendre ? Pour ne pas s'étaler mollement sur cette patinoire des méandres symptomatiques: prenez votre temps, informez-vous, formez-vous, cultivez votre instinct et faites confiance à votre humble part d'humanité. En écoutant au-delà des mots émis, puis en les saisissant dans leur contexte réel vous avez déjà une piste. De toute façon, seuls les médecins peuvent poser des diagnostiques. Alors à votre amie qui à mal au cœur après une rupture sentimentale, préférez une huile essentielle rassurante, restructurante (le raventsare par exemple) par la suite une fleurie, féminine comme l'ylang-l'ylang! Inutile de l'envoyer voire le cardiologue en urgence! Quoique...s'il ressemble à P.Brosnan ou G.Clooney. Après tout il n'y a pas que les huiles essentielles dans la vie.Catherine
QUEL EST LE VRAI ET JUSTE SYMPTOME?Qu'entendez-vous dans j'ai mal au cœur?.
1) La maman: ma fille a envie de vomir.
2) la copine: mon amie a de la peine.
3) le moniteur de colonie: cet enfant va faire un malaise
4) le patron: ma collègue est enceinte!
Dés lors que cette phrase est proclamée dans un contexte spécifique, elle prend un sens différent; Le médecin, le psychologue, le dentiste, le cardiologue, l'infirmière anesthésiste réagiront selon leurs connaissances spécifiques. De tout façon ils chercheront d'autres symptômes.
Votre empathie m'interpelle: Et la victime du "mal au cœur" dans tout ça!
Pour l'instant elle attend, nous n'avons pas encore cerner le vrai problème. Et c'est elle qui justement détient la clef!
Il faut premièrement:
- Repérer l'espace de variation des usages : qu'attend le donneur d'information, quelle réaction souhait-il provoquer? D'autres symptômes physiques accompagnent-ils cette information?
Car nul doute qu'à l'autre bout du processus d'utilisation, où sont désignés les maux que soigne "une plante", le travail soit à faire, sur la portée sémantique des terminologies . Une plante présentée comme efficace contre "le mal de coeur" relève selon les références culturelles de l'informateur d'une manifestation cardiaque (tachycardie, arythmie), d'une pathologie digestive (nausée) ou d'un problème affectif. Il est donc essentiel de comprendre le sens de l'usage thérapeutique dans son contexte socio-culturel, avant d'entreprendre une réponse aromatique, afin d'éviter les contre-sens dans l'utilisation de l'information recueillie. Le tout est d'être efficace. Certains usages sont rigoureusement codifiés pour ce qui est de l'ingrédient (une plante, toujours la même sur toute l'étendue culturelle étudiée, précisément définie). C'est le cas de l'aromathérapie selon l'école française. D'autres pratiques seront pour ce qui est de la posologie, par exemple, ou pour le mode d'application, mais non pour l'espèce utilisée...
Deuxièmement choisir et opter pour une réponse.
-Quelle huile essentielle choisir? A ce stade, les symptômes s'éclaircissent: la fille a eu le temps de vomir, l'amie de fondre en larmes, l'enfant de tomber dans les pommes, quant aux autres, ils sont entre de bonnes mains. Mais comment s'y retrouver, quel chemin prendre ? Pour ne pas s'étaler mollement sur cette patinoire des méandres symptomatiques: prenez votre temps, informez-vous, formez-vous, cultivez votre instinct et faites confiance à votre humble part d'humanité. En écoutant au-delà des mots émis, puis en les saisissant dans leur contexte réel vous avez déjà une piste. De toute façon, seuls les médecins peuvent poser des diagnostiques. Alors à votre amie qui à mal au cœur après une rupture sentimentale, préférez une huile essentielle rassurante, restructurante (le raventsare par exemple) par la suite une fleurie, féminine comme l'ylang-l'ylang! Inutile de l'envoyer voire le cardiologue en urgence! Quoique...s'il ressemble à P.Brosnan ou G.Clooney. Après tout il n'y a pas que les huiles essentielles dans la vie.Catherine
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